Ne les oublions pas !
(Ακολουθεί ο κατάλογος των Γάλλων πατριωτών που έχασαν τη ζωή τους στις 6 Φεβρουαρίου 1934 κάτω από τις σφαίρες της διεφθαρμένης Δημοκρατίας. Μετά τους κλέφτες, δολοφόνοι ... Πέθαναν για τη Γαλλία. Μη τους λησμονείτε!)
De Schiltigheim (Bas-Rhin), 37 ans, valet de chambre, tué d'une balle au cœur près de la place de la Concorde. Il était Ligueur d'Action française.
42 ans, d'origine hellénique, naturalisé Français, musicien sans travail, mort le 9 février des multiples blessures reçues dans la nuit du 6. Allié d’Action française.
55 ans, industriel, ancien combattant, frère de trois combattants morts pour la France, marié et père d’un enfant de 7 ans 1/2, membre de la Solidarité française. Atteint d’une balle entre les yeux.
Il fut frappé et piétiné avec un acharnement bestial, comme le prouvent les nombreuses contusions et fractures du crâne, du nez et de la mâchoire que l’on releva sur lui. Il décéda quelques heures après son transport à l’hôpital Beaujon.
49 ans, commis-livreur dans une mercerie en gros ; n’appartenant à aucune association politique, veuf et père de six enfants, dont deux en bas âge.
25 ans, garçon charcutier, reçut, près de la Madeleine, un coup de matraque d’un policier et mourut d’une fracture du crâne.
Etudiant en médecine, interne à l’hôpital Saint-Joseph, membre des Jeunesses patriotes, tué d’une balle au cœur devant le pont de la Concorde. Il avait été blessé en 1925, lors d’un guet-apens organisé rue Damrémont par les communistes.
Garçon boucher, 16 ans, blessé d’une balle qui l’atteignit à la colonne vertébrale, mort le 1er novembre, après une longue et douloureuse agonie.
Femme de chambre, 34 ans, tuée d’une balle à la tête sur la terrasse de l’hôtel Grillon, place de la Concorde.
39 ans, n’appartenant à aucune association politique, ancien combattant, blessé aux Eparges, croix de guerre. Succomba à ses blessures le 11 février.
Directeur administratif de la société « L’Energie industrielle », ancien combattant, laisse deux orphelins, frappé d’une balle en arrivant près de la place de la Concorde.
Menuisier et tapissier d’autos, 24 ans. Atteint sur la place de la Concorde d’une balle qui lui fit éclater le tibia. Succomba des suites de sa blessure le 5 février 1936. S’était inscrit aux Camelots du Roi après le 6 février.
31 ans, officier mitrailleur de réserve, gérant d’un hôtel meublé appartenant à ses parents. Ne faisant partie d’aucune association politique. Tué d’une balle dans le dos, sur la place de la Concorde. Il laissait une veuve sur le point d’accoucher.
35 ans, engagé dans la marine à 19 ans embarqué sur les patrouilleurs de la division de la Loire, ouvrier à l’usine Renault, succomba le 12 février, ayant reçu une balle dans le ventre. Marié, sans enfant, il était Ligueur d’Action française et chef d’équipe de Camelots du Roi.
Cuisinier, 34 ans, blessé le 6 février 1934 d’une balle à la colonne vertébrale, mort le 6 décembre 1935, après vingt et un mois d’atroces souffrances, laissant une femme sans ressources.
28 ans, musulman, membre de la Solidarité française, manœuvre en chômage, écrasé par un camion de la police lancé à toute allure, puis achevé à coup de pied et de matraque. Mort le 7 février.
24 ans, atteint à la colonne vertébrale, mort le 7 décembre d’une infection généralisée, après de longs mois de souffrances héroïquement supportées. Il a été inhumé à Compiègne.
MUNNIER Albert, , mort pour la France
27 ans, comptable, depuis quelques mois sans travail, tué d’une balle de révolver dans la tête, rue Boissy-d’Anglas. Il était marié et père d’un bébé de 18 mois.
29 ans, frère du champion cycliste, n’appartenant à aucune association politique.
37 ans, industriel, ancien combattant, membre des Jeunesses patriotes, officier de réserve de cavalerie, marié, père d’un enfant de 12 ans, tué d’une balle de révolver en pleine tête devant le pont de la Concorde.
36 ans, industriel, directeur d’une grande maison d’importation et d’exportation de soierie occupant 200 ouvriers, ancien combattant, engagé volontaire à 17 ans, croix de guerre avec deux citations, marié et père de trois enfants dont l’aîné n’avait pas 6ans. Ligueur d’Action française et membre de l’Association Marius Plateau.
30 ans, dessinateur, membre de l’Association des Décorés de la Légion d’honneur au péril de leur vie, fut tué à coups de matraque et relevé la colonne vertébrale complètement disloquée.
39 ans, ancien combattan
Πηγή Action française
Σχετικό:
Lucien Vieville: 6 Φεβρουαρίου 1934. 17 νεκροί για έναν διευθυντή Αστυνομίας.
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