Coup de sang grec à Bruxelles
dimanche 9 décembre 2012 , par
« Le temps où l’Autriche dictait ses volontés aux pays des Balkans est terminé », hurle, en allemand, à l’adresse de la délégation autrichienne, Theodoros Sotiropoulos, le Représentant permanent (ambassadeur) grec auprès de l’Union européenne.(«Ο χρόνος που η Αυστρία υπαγόρευε τη θέλησή του στα Βαλκάνια έχει τελειώσει », φωνάζει στα γερμανικά, απευθυνόμενος στην αυστριακή αντιπροσωπεία, ο Θεόδωρος Σωτηρόπουλος, Μόνιμος Έλληνας Αντιπρόσωπος (Πρέσβης) στην Ευρωπαϊκή Ένωση.)
Objet de cette colère hellène ? La Macédoine (ou FYROM). La discussion, qui a eu lieu dans la nuit de mercredi à jeudi, portait sur l’ouverture ou non de négociations d’adhésion avec ce pays qui a obtenu le statut de « pays candidat » en 2005. La Grèce s’y oppose tant que la question du nom de cette ancienne République yougoslave, qu’elle considère comme appartenant au patrimoine grec, ne sera pas réglée. L’Autriche, elle, dont l’Empire a longtemps englobé la Slovénie, la Croatie et la Bosnie-Herzégovine, pousse et pousse encore pour que l’UE passe sur le corps des Grecs qui ont fait de cette question une affaire d’honneur national. [...]
La suite sur Coulisses de Bruxelles
Δεν υπάρχουν σχόλια:
Δημοσίευση σχολίου